Poèmes chinois d'avant la mort

Demiéville, Paul. Diény, Jean-Pierre (ed.). Poèmes chinois d'avant la mort. Paris: L'Asiathèque, 1984.

Translations

81
  • Paul Demiéville (1894–1979): Poème à l'approche de la fin
  • Paul Demiéville (1894–1979): Poème anonyme des Tcheou du Nord
  • Paul Demiéville (1894–1979): Complainte de la fin imminente
  • Paul Demiéville (1894–1979): Tristesse des funérailles pour toujours
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Illusoire la naissance, illusoire la mort"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Les quatres grands éléments matériels n'ont jamais constitué d'entité autonome"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "A nul de tant de patriarches admirables"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Quelqu'un demande-t-il ce qu'il en est de suivre un cours d'eau sans arrêt"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Si de tant d'apprentis, nombreux comme les grains de sable du Gange, pas un seul n'a réalisé l'éveil'"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Cette année, j'ai soixante-cinq ans"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Ma route va hors des espaces azurés"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Les anciens ont eu ces mots
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "La matière physique est permanente en sa vraie transcendance"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Mes un et deux, mes deux et trois enfants"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Soixante-dix-sept ans accomplis"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Maitreya - le vrai Maitreya!"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "La vision s'abolit avec le visible"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Je possède une maison"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Dans l'aspect réel sont abrogées la parole et la réflexion"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "L'année prochaine, le deux de la deuxième lune"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Le Tao, en toute occasion, commande de sauver les êtres"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Je suis âgé de quatre-vingt-huit ans"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Cessez de dire, ô gens du monde, que ce chemin est difficile"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Je suis resté au monde soixante-cinq ans"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Me voici parvenu à l'état sans effort"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Fi donc, vieux Vide de nature"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Assis pour se délivrer, debout pour disparaîtres: Rien ne vaut l'ensevelissement dans l'eau"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Après plus de soixante années, me voilà de retour au pays"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Si la connaissance, c'est connaître notre propre pensée foncière"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Âgé maintenant de soixante-quinze ans"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "La vie, c'est simplement comme ça"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Brisés les poids de la balance"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Les quatre éléments matériels s'étant disperés en volant"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Hymne d'adieu au monde
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Soixante-six ans de vie pécheresse"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Stance d'adieu au monde
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Dans l'univers entier, il n'y a plus d'endroit où je puisse planter non bambou solitaire"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Pour venir je n'avancerai plus, ni ne reculerai pour m'en aller"
    KT: The transmission of the poem is not consistent. The Buddhist Canon (Taishō shinshū daizōkyō) reads shi 師 in the second and third verses, whereas other works (e.g., Mochizuki bukkyō daijiten, 4.3148b) attest the variant shi 獅. Demiéville likewise adopts this latter reading, adding the annotation: “La prédication du Buddha est couramment assimilée à un rugissement de lion” (“The Buddha’s preaching is commonly likened to a lion’s roar”).
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Les Buddha, les profanes, tout cela n'est qu'illusion"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Chanson de Gai Xia
  • Paul Demiéville (1894–1979): La rosée sur les échalotes
  • Paul Demiéville (1894–1979): La commune inculte
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Retour dans la ville vide"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "On voudrait bien vivre longtemps – sans fin."
  • Paul Demiéville (1894–1979): Chanson triste
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Qui trop parle perd non affaire"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Vivant, je me promenais à la capitale"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Tristesse à l'ombre
    Demiéville translates only the last four of the 86 verses of this poem.
  • Paul Demiéville (1894–1979): Aux approches de la fin
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Parmi des flots de larmes, parents et amis pesent à lui"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Chanson a tirer II "Parmi des flots de larmes, parents et amis pensent à lui"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Chanson a tirer III "Toutes ces collines qu'elles sont hautes"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Les quatre grands éléments, quelle est la cause qui les produit"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Qu'elle est vaste"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Lorsque Han fut perdu, Tseu-fang se souleva"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Tel Kong Cheng, il ne me reste plus de vie"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Imprévisibles sont le malheur et le bonheur"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Imprévisibles sont le malheur et le bonheur"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Chanson à tirer pour l'insigne concubine, Siuan
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Soixante-quinze années"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Sur les cinq routes il n'est point de maison permanente"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Le pouvoir m'a quitté, le chemin de la vie se fait pour moi pressant"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Brumes confuses, vapeurs éparses"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Il y a un honnête gentilhomme des Liang"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Chanson à tirer "Jadis je prenais les chevaux de mon quadrige"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Auto-doléance
  • Paul Demiéville (1894–1979): Trois chansons pour se délivrer de la Maladie I
  • Paul Demiéville (1894–1979): Trois chansons pour se délivrer de la Maladie II
  • Paul Demiéville (1894–1979): Trois chansons pour se délivrer de la Maladie III
  • Paul Demiéville (1894–1979): Chanson aux approches de la route
  • Paul Demiéville (1894–1979): Aux approche de la fin "Tantôt les honneurs, tantôt les revers – le temps qu'il faut pour battre le briquet"
  • Paul Demiéville (1894–1979): Récité par le vieux lui-même pour les membres de sa famille
  • Paul Demiéville (1894–1979): Wang K'o-fong aux approches de la fin
  • Paul Demiéville (1894–1979): Quatrain aux approches de la transformation
  • Paul Demiéville (1894–1979): À l'approche du supplice
  • Paul Demiéville (1894–1979): À mes enfants
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Rien de trop dans la vie"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Les Tai dans leurs mémoires ont compilé des instructions"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Je dois mon salut au maître-patriarche, qui m'a tiré de la rouge poussière"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Petite Rose, par bonheur, venait juste d'être épousée"
  • Paul Demiéville (1894–1979): No title "Le ciel a fait descendre des désordres – Qui sait pourquoi"